L’impact méconnu de la carence en fer chez les femmes et les filles atteintes de troubles de la coagulation
L’impact de la carence en fer n’est pas suffisamment pris en compte en hématologie. Nous aborderons les stratégies de prise en charge et de prévention de l’anémie chez les femmes et les filles atteintes de troubles de la coagulation. Au départ, l’anémie ferriprive peut être si faible qu’elle passe inaperçue. Toutefois, à mesure que le corps devient plus carencé en fer et que l’anémie s’aggrave, les signes et symptômes s’intensifient et peuvent avoir un impact dévastateur sur la qualité de vie d’une femme ou d’une fille atteinte d’un trouble de la coagulation.
Michelle Sholzberg, cheffe du Service d’hématologie, directrice médicale du laboratoire de coagulation, directrice du laboratoire Hemequity et du groupe de recherche clinique en hémato-oncologie à l’hôpital St. Michael’s; directrice du Service d’hématologie, titulaire de la chaire Alexandra Yeo en hématologie, professeure agrégée, Université de Toronto, Canada
Michelle Sholzberg, cheffe du Service d’hématologie, directrice médicale du laboratoire de coagulation, directrice du laboratoire Hemequity et du groupe de recherche clinique en hémato-oncologie à l’hôpital St. Michael’s; directrice du Service d’hématologie, titulaire de la chaire Alexandra Yeo en hématologie, professeure agrégée, Université de Toronto, Canada
Marlène Beijlevelt, vice-présidente du Comité de la FMH sur les femmes et les filles atteintes de troubles de la coagulation; infirmière spécialisée en hémophilie et recherche du Centre de traitement de l’hémophilie du Centre médical universitaire d’Amsterdam, les Pays-Bas
Paula James, professeure et cheffe adjointe de la division d’hématologie de la Faculté de médecine de Queen’s University, Canada
À confirmer