Plus de 22,7 millions d’UI ont été données au Nigeria via le Programme d’aide humanitaire de la FMH depuis 2015, dont plus de 6,4 millions en 2019 seulement.
Voici un article adressé par un des membres de la communauté internationale des troubles de la coagulation à la Fédération mondiale de l’hémophilie (FMH). Akintunde Collins, qui vient du Nigeria, nous raconte son histoire.
Je m’appelle Akintunde Collins et j’aimerais profiter de cette occasion pour remercier Megan Adediran, directrice et fondatrice de la Fondation de l’hémophilie du Nigeria (HFN), le Dr Titilope A. Adeyemo, ainsi que Bukola Arogundade de l’hôpital universitaire de Lagos, pour toute la compassion et l’amour témoignés à ma famille. Mon fils Akintunde Richard a été admis au Centre médical fédéral Abeokuta le 4 septembre, car il se plaignait de maux de tête et d’une raideur de la nuque. Il s’est avéré qu’il faisait de l’hypertension, et une opération du cerveau a été programmée. L’un des médecins s’est alors aperçu qu’il était atteint d’hémophilie et l’opération a été annulée. J’ai fait des recherches sur internet pour en savoir plus sur l’hémophilie, et j’ai découvert qu’une organisation non gouvernementale (ONG) gérait la distribution de facteur [fourni par le Programme d’aide humanitaire de la FMH]. J’ai pu contacter cette ONG et Megan Adediran et Titilope A. Adeyemo ont immédiatement entrepris de m’aider dans cette voie. Le 11 octobre, mon fils est sorti de l’hôpital et il est désormais en bonne santé. Merci à tous !
Ce texte a été modifié pour plus de clarté.